« Quand après 7 jours de vélo à avancer cahin-caha de 50 kilomètres par jour malgré 8 heures d’effort, à chercher de l’air entre 4.000 et 5.000 mètres d’altitude, à rebondir sur une piste sans rien maîtriser, à prendre des vents beaucoup trop forts, à glisser sur le sable et à me relever, j’ai retrouvé une petite route à peu près bien goudronnée, je …
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